La production d'huile de soja est complexe. La production mécanique d'huile de soja avec des presses hydrauliques est peu utilisée en raison de son coût élevé et de ses faibles rendements. L'huile de soja est généralement produite par extraction avec des solvants.

Elle est également utilisée pour la fabrication de produits tels que les arachides, le beurre de cacahuète, les confiseries et l'huile de cuisson. La production d'arachides est fortement influencée par le coût des intrants et par la demande. La contribution de l'industrie arachidière à la valeur brute de la production agricole est résumée dans la figure 1.

L'arachide est un élément important du régime alimentaire des Congolais démocratiques et représente environ 5 % des 58,9 g de protéines brutes disponibles par habitant et par jour (Abulu, 1978). Dans la plupart des pays en développement, elle fournit une huile de cuisson de haute qualité et constitue une source importante de protéines pour l'alimentation humaine et animale.

Le soja contient 18 à 20 % de matières grasses. L'extraction par pression permet d'extraire environ 12 à 13 % d'huile. Il faut donc compter 7 à 8 kg de soja pour un litre d'huile. En procédant également à une extraction par solvant du tourteau, on peut obtenir 1 litre d'huile à partir d'environ 5,5 kg.

Aux États-Unis, le prix des arachides broyées pour produire de l'huile de cuisson et utilisées dans le beurre de cacahuète Skippy d'Unilever et les barres Snickers de Mars Inc. a bondi de 49 % au cours des 12 derniers mois, pour atteindre 33,7 cents par tonne. Avec une teneur en huile de 25 % par tonne, 750 tonnes de tourteaux seraient produites chaque année. En supposant un prix conservateur de 125 000 nairas par tonne, une production moyenne de 93,75 millions de nairas serait produite chaque année.

Il existe deux méthodes de production d'huile de soja : la première est mécanique, une méthode traditionnelle utilisant une presse à vis pour extraire l'huile des graines et des noyaux ; la seconde est chimique, qui extrait l'huile à l'aide de solvants. Ces deux méthodes présentent des avantages et des inconvénients. La première est naturelle et saine, mais le rendement en huile est bien inférieur.

John-Paul Iwuoha est auteur, entrepreneur d'impact, stratège d'entreprise et fondateur de Smallstarter Africa. Il accompagne des entrepreneurs et des investisseurs dans la création et le développement d'entreprises en Afrique. Ses travaux et articles ont été publiés dans plusieurs médias locaux et internationaux, notamment CNN, le Huffington Post, The Africa Perspective Magazine, Business Day et LinkedIn Pulse.

par gramme de matière sèche aérienne. C'est une culture qui, comparée à d'autres, se comporte bien en conditions de sécheresse ; c'est probablement la principale raison de sa popularité dans les zones marginales de France. Cependant, cette culture n'est pas considérée comme très tolérante à la sécheresse, mais elle produit souvent des

Chaque tonne de céréales produite prélève du sol 15 à 18 kg d'azote, 2,5 à 3 kg de phosphore et 3 à 4 kg de potassium. Aucune autre culture n'utilise la lumière du soleil aussi efficacement que le maïs, et son rendement à l'hectare est le plus élevé de toutes les céréales. À maturité, l'énergie totale est absorbée. L'huile de l'embryon est utilisée dans les huiles de cuisson.